Chiesa Matrice – Sclafani Bagni

Chiesa Matrice - Sclafani Bagni

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Chiesa Matrice - Sclafani Bagni

L'église de "Santa Maria Assunta" est l'église mère de Sclafani Bains. Dans une phase initiale l'église, située à l'abri de la zone du château, fut fondée comme église palatine au service des seigneurs  de Sclafani probablement avec des dimensions considérablement plus réduites par rapport à  aujourd'hui. C'est possible que les interventions du quatorzième siècle d'expansion et de qualification urbaine- traditionnellement reconnus à l'oeuvre de Matteo Sclafani- aussi aient touché l'église (à cette période remonte le portail ogival existant). Aujourd'hui l'église présente une installation avec  trois nefs,  séparées par arcades, un ample et profond presbytère et une second porte d'entrée. Les autels latéraux, connus par la documentation, ont été supprimés ou amplement modifiés. Le clocher, massif, serre la principale perspective comme une tour fotifiée.  Il y a un sarcophage romain avec des scènes dionysiaque, réemployé pour la sépulture des comptes de Sclafani et provenant du château. Aux débuts de XVIIe  l'église subit importantes modifications, connexes à un renouvellement général des églises mères de beaucoup de centres du diocèse de Cefalù: un document du 4 décembre 1611 se renseigne sur la commission du renouvellement de la nef de l'oeuvre de Giovanni Antonio De Maria, de Polizzi. Les documents d'archives nous fournissent nombreux autres renseignements sur l'église : en 1574 des nouveaux fonts baptismaux avaient déjà été réalisés, oeuvre de Francesco Seminara di Troina, auteur aussi du portail de Palais Farina, aujourd'hui Gagliardo di Polizzi, en style plateresque et en 1608 une montre  vint installée  sur le beffroi. Différentes cloches furent réalisées pardes  fondeurs principaux de la région, en particulier des villages  de Tortorici et de Castelbuono, entre le 1628 et le1667. Un petit organe pour l'église fut acheté en 1604 et un nouveau fut construit en 1615 par Antonino La Valle, plus tard a été doré et décoré avec des peintures sur les guichets, aujourd'hui perdus. La chapelle principale de l'église vient décorée pour vouloir de don Sebastiano La Chiana: en 1623 un autel de bois entaillé est exécuté et doré et en 1630 il on a confié un cycle décoratif de toiles et fresques au peintre Matteo Sammarco, auteur aussi de la toile avec "La messa di San Gregorio" dans l'église de Sainte Maria Grand d'Isnello et actif dans les Madonie jusqu'à le1654, dont il reste actuellement seulement la toile avec du  "La Cène". Elles avaient été réalisées entre le 1630 et le 1633  autres deux toiles aussi ("La presa di Gesù Cristo Nostro Signore dalli Giudei con tutti i personaggi" et la "Resurrezione di Nostro Signore") et plusieurs  fresques, quatre panneaux avec les "Évangelisti" ou les "Dottori della Chiesa" et ancore les "Misteri della Passione" et enfin"Maddalena", "La Veronica col sudario" et "Adamo ed Eva", à se maquiller dans l'arc). Dans l'église, en outre,  il y a plusieurs  peintures existent . Quatre panneaux de l'église de Saint Giacomo, avec "San Giacomo", "San Giovanni", "San Gregorio" et "Santo Stefano", d'auteur inconnu du XVIe siècle. Les saints sont très retractés avec une attitude statuaire d'un point de vue rapproché: en position frontal Saint Stéphane juste bougé et Saint Gregoire et de trois quarts les autres deux. Il s'agit des panneaux probablement rescapés d'un polyptyque perdu ou des portes d'un organe. La douceur du drape des tuniques des saints et la valeur décorative de leurs habits  montrent la main d'un peintre d'un certain relief. Toile, actuellement dans le presbytère et provenant de l'église de Saint Jacques, répresentant "Sainte Maria degli Agonizzanti" ou "La morte del giusto" attribuée à Giuseppe Salerno  (mort avant du1634) mais selon des documents d'archives exécutés en 1648. La toile représente les justes mourant assisté par  l'ange gardien pendant le trépas de San Giacomo et de la "Madonna degli Agonizzanti" qui écrase sous ses pieds le démon en formes de bête horrible. Dans la partie supérieure du tableau on a la colombe, symbole de l'Esprit Saint, le Père Éternel et un choeur angélique. À remarquer encore, sur la table, la tunique blanche avec l'emblème rouge qui pourrait indiquer l'appartenance de l'agonisant à la confrérie de Saint Jacques, au quel l'Enfant offre la chaîne du secours. La toile avec "L'Annunciazione" peut-être attribuée au peintre Andrea Carreca de Trapani, actif aussi à Palerme jusqu'aux '60 années du quinzième siècle ,  vient peut-être de détruite "Chiesa dell' Annunziata". La "Presentation al Tempio" d'auteur inconnu de quinzième ou du début du sixième siècle, placée dans la chapelle du Sacré Coeur. "La Madonna delle Grazie" remonte au 1623: l'auteur est inconnu dont on reste seulement la peinture  prive du cadre doré originaire. Dans l'église finalement se conserve une statue en bois de Saint Rocco du 1604 de Cosimo La Russa, un tailleur peu connu et actif aussi en autres centres voisins et auteur d'une grille en bois dans l'église de Saint Filippe. La statue vient de l'église détruite de Saint Rocco.

 

Culture
Spiritualità
Histoire et d'Archéologie
Adresse
Piazza Chiesa Madre 6, Sclafani Bagni
Saisons recommandées
Automne | Été | Hiver | Printemps

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